mardi 12 septembre 2017

Attention, mignonnerie intense !

Les amis, vous étiez prévenus, faudra pas vous plaindre.
Vous avez ouvert ce post à vos risques et périls.

Cet album est un concentré de mignonnerie à base de doudou perdu, d'enfants choupinous, de paysages adorables. 
Claire Shorrock a déployé son talent tout britannique pour transformer mon texte en élixir de douceur, de ronronnerie, de thé avec un nuage de lait, tout en nous faisant voyager d'Europe en Amérique, au Japon et en Afrique.

Un grand merci à Marion Balalud, aux Editions Circonflexe, qui a su trouver la perle pour illustrer ce texte qui, au-delà de l'aventure du doudou perdu, délivre un petit message surprise à la fin...

Ce livre est conseillé à tous les enfants et à leurs doudous !




Des doudous surdoués, qui lisent même à l'envers...


 Et sur le ventre...


En faisant un gros câlin...



Et comme l'indique le titre, vous pourrez trouver Les Aventures d'un doudou à travers le monde partout partout partout, all over the world .


Que deviennent les doudous tombés du sac, oubliés sur un banc
ou perdus au détour d’un chemin ? Ils vivent des aventures
extraordinaires ! Voici celle de Caramel, un petit ours attachant qui
charme tous ceux qu’il croise sur son chemin.
Enfants étourdis ou rêveurs, adultes distraits ou pressés, au fil des
rencontres Caramel voyage autour du monde, depuis les pinèdes
du sud de la France jusqu’à la savane africaine en passant par les
jardins de Nagasaki. C’est finalement dans les bras d’une adorable
petite fille qu’il terminera son périple… sans pour autant cesser de
voyager, car la vie réserve de nombreuses surprises !

jeudi 31 août 2017

L'heure des papapis.... késako ?



Et si c'étaient les papas qui allaient chercher leurs enfants à l'école ?



Tout commence quand la maîtresse décide : « Demain, ce sera l'heure des papas. » 
Ouais, parce que vous, je ne sais pas, mais moi, "l'heure des mamans", je trouve que ça a un petit côté d'antan qu'il faudrait faire bouger !

Lorsqu'ils apprennent la nouvelle, ces derniers trouvent tous une mauvaise excuse : tandis que Monsieur Lion prétexte que c'est pile l'heure de sa sieste, Monsieur Pigeon objecte qu'il ne connaît pas le chemin de l'école... 
Mais leurs femmes ne sont pas dupes et trouvent chacune une solution pour contrer leur manque de volonté. 
Et si, finalement, aller chercher les bouts de choux à l'école n'était pas une corvée, mais l'occasion de papoter avec les potes ? Et si les papis s'y mettaient aussi ?



Cet album existe aussi en version « gros caractères » pour les lecteurs malvoyants ou ayant des difficultés de lecture.

Un grand merci à Fatiha Djiaba et Elsa Dupuis, mes éditrices, qui ont cru en cet texte déjanté, et à Fabien Öckto Lambert d'avoir accepté de l'illustrer si chouettement !

mardi 8 août 2017

Un bel article dans les DNA, avec la star Fusayn !


Je voulais prouver à mon mari qu’il avait tort, que jamais des éditeurs ne publieraient mes histoires. Ils l’ont fait ». Lenia Major, pharmacienne à mi-temps à Roeschwoog est aussi auteure de littérature jeunesse. Elle habite à Soufflenheim. C’est en inventant des histoires pour ses enfants qu’elle a commencé à écrire des livres. Aujourd’hui, elle publie environ dix ouvrages par an destinés à des enfants de tous les âges et vend ses albums et romans à travers le monde.
Caballero, qui signifie chevalier en espagnol, est le titre de son dernier roman, paru aux éditions Samir et en poche en mai dernier aux éditions Michel Lafon.
Lenia Major y raconte l’histoire de Genaro, un adolescent un peu perdu qui a du mal à s’intégrer à l’école. Pour se faire accepter par ses camarades, il participe à une séance de « binge drinking » (biture express) et finit à l’hôpital ivre mort. Ses parents décident de l’envoyer passer des vacances en Espagne chez son cousin Péepito qui s’occupe de Galgos et de Podencos, des races de lévriers espagnols utilisés pour la chasse. Les chasseurs maltraitent ces chiens au nom de traditions ancestrales. Caballero est l’histoire de cet adolescent qui se transforme et prouve sa valeur en voulant aider et sauver ces chiens.

Purs divertissements

La maltraitance des lévriers en Espagne est une réalité. Certains chasseurs, du sud du pays notamment, estiment que plus un lévrier souffre lors de sa mort, meilleur sera le prochain lévrier. « Je voulais parler de cette problématique tout en intéressant les jeunes. Le thème est dur mais les personnages sont fondamentalement positifs. Ils sont l’incarnation de ces militants qui se battent pour sauver les lévriers espagnols », explique l’auteure.
Par son sujet et sa taille, ce roman de 500 pages s’adresse essentiellement aux adolescents de 14 à 18 ans. L’objectif de Lenia Major est de leur prouver qu’il n’y a pas que par l’école qu’ils peuvent prouver leur valeur : « En aidant les lévriers, Genaro s’aide lui-même et trouve une forme de reconnaissance qu’il cherchait. »
Caballero est un succès. Il a déjà obtenu deux prix, « Des mots et des merveilles » et le prix des lycéens de Cherbourg Octeville. Il a aussi été sélectionné pour le prix Paul Langevin dont le gagnant n’est pas encore connu.
Dans ses romans et albums, la Soufflenheimoise aime transmettre un message à ses lecteurs. Dans Tibo et le mage Dyslexis, elle aborde le thème de la dyslexie. C’est mon frère ! aborde celui des familles recomposées. « Je cherche à montrer que ce ne sont pas forcément les liens du sang qui comptent mais surtout ce que l’on fait ensemble dans une famille », précise-t-elle. D’autres de ces livres sont des purs divertissements comme L’île aux aventures illustré par Carine Hinder. Mieux que 10 fées fait aussi parti de ses best-sellers. Il est constamment réédité et est traduit dans plusieurs langues. Lenia Major décrit page par page les pouvoirs magiques de dix fées différentes. À la fin de l’album elle conclut que, mieux que dix fées, c’est une maman qui rassemble toutes ces qualités. Cet album est illustré par la dessinatrice Cathy Delanssay avec qui elle a réalisé d’autres albums comme À l’orée des fées.

Entre réel et imaginaire

Lenia Major, qui a un pied dans la science en tant que pharmacienne et un pied dans la littérature jeunesse en tant qu’auteure, a trouvé le juste équilibre : « Avec la littérature jeunesse, tout est possible. C’est une littérature de l’imaginaire qui est fondamentalement positive », explique-t-elle. Néanmoins, pas question de quitter son travail de pharmacienne : « Ça me permet de rester dans le monde réel. Je rencontre beaucoup d’artistes sur les salons qui ont un peu la tête dans les nuages », ajoute-t-elle. Son métier de pharmacienne est également source d’inspiration pour rédiger ses livres. Il y a quelques années, un homme est entré dans la pharmacie et lui a demandé du lait pour chevreuil. Il en avait recueilli un chez lui car il avait été abandonné par sa mère et l’a élevé jusqu’à l’âge adulte. Dans son roman première lecture Atchoum , Lenia Major raconte la même histoire mais avec des enfants dont l’un est allergique aux poils d’animaux.
À la rentrée, Lenia Major publiera trois albums et un roman. L’un raconte Les aventures d’un doudou à travers le monde. Dans L’heure des papapis , elle questionne l’expression « l’heure des mamans ». La photo de classe paraîtra en octobre. Son roman première lecture a pour titre Un boulot pour les animaux du zoo.


Merci beaucoup à Julie Munch pour ce long et bel article et les supers photos !

jeudi 20 juillet 2017

L'invité mystère...

C'est l'été, les sorties sont prévues à la rentrée, mais j'ai quand même des choses à vous raconter !

Ou plutôt, j'ai envie de vous parler d'un métier de l'édition totalement invisible aux yeux des lecteurs. Et d'une personne plus particulièrement.
Quel suspense, mes amis ! Que va-t-elle nous dévoiler : qui est Charlie de drôles de dames ? Le père Noël existe-t-il ?  
Presque !

Je vous bassine régulièrement, en maman fière de sa progéniture, avec le succès de Caballero, paru chez Samir éditions.


Sélectionné pour de nombreux prix (dont celui de la fondation 30 millions d'amis, excusez du peu), lauréat du prix Mots et Merveilles de Maubeuge, du prix des lycéens de Cherbourg Octeville, ce roman qui me tient particulièrement à cœur fait son chemin.
Grâce à Caballero, je rencontre beaucoup de classes de collégiens et lycéens, ce qui offre l'occasion de discussions autour de ses deux principaux thèmes, la souffrance animale et la mésestime des ados.

Si vous connaissez un tant soit peu le milieu de l'édition, vous savez qu'il sort des milliers de livres chaque année. Une foule, une marée, où l'on est noyé. Quand je me balade dans les rayons d'une librairie, je me demande toujours si je vais continuer à écrire en sortant.
Les étagères sont pleines, les piles débordent. Pourquoi un lecteur choisirait-il mon livre plutôt que celui du voisin ? Pourquoi un livre rencontre-t-il le succès, alors qu'il pourrait être invisible ? Comment un jury intègre-t-il mon roman à sa sélection ?

C'est là que je vous parle de la petite fée de chez Samir, qui s'est penchée sur le berceau de Caballero : Amélie Zaccour, une attachée de presse passionnée qui monte au créneau dès qu'elle en a l'occasion pour faire découvrir les livres du catalogue.
Je sais qu'elle a aimé Caballero, qu'elle le défend, le promeut en permanence et je voulais la remercier pour ça.
Amélie fait un métier de l'ombre, mais si important pour un auteur.

Alors, je n'y pense pas toujours, mais aujourd'hui je tiens à rendre hommage à ceux qui font ce métier, qui se battent pour nous et qu'on oublie toujours dans les dédicaces.
Je lui adresse donc  un grand merci, pour l'énergie qu'elle déploie à faire vivre les livres de Samir éditions (et surtout les miens, of course ! HA HA HA).
Et j'espère pouvoir trinquer au champagne avec elle  pour les prochaines victoires de Caballero !


mercredi 5 juillet 2017

A paraître



Dans mon petit jardin, album, éditions du Ricochet, avril 2020, illustrations Clémence Pollet.



Les princesses et leurs animaux extraordinaires, recueil, Éditions Hemma 2020

Les mondes d'Animalia, tome 6, la malédiction du cœur de pierre, roman, Playbac Éditions, 2020, illustrations Lotty.

Le sanctuaire de Nienor, tome 2, roman, Mage éditions, 2020

La Princesse mécanique, roman, Mage éditions, 2020, illustrations Sarah Feruglio.

Il faut dormir maintenant !, album, Éditions Gautier Languereau, mai 2020, illustrations Héloïse Solt.

Une bouteille à la mer (titre provisoire), roman ado, Éditions Slalom, automne 2020.

La Brigade anti-écrans, album, Éditions Gautier Languereau, 2020, illustrations Florent Bégu.

Seconde chance, roman, Samir éditions, 2020


...







dimanche 11 juin 2017

Les mondes d'Animalia - Les licornes et la menace du griffon

Je suis très très heureuse de vous présenter ma nouvelle série, pour les jeunes lecteurs entre 7 et 10 ans environ.
Elle s'intitule Les mondes d'Animalia.
C'est une collection dont les animaux sont les héros. Des Terres du Grand Blanc à celle du Sud, en passant par la Forêt Chantante, chaque tome conduira le lecteur dans des aventures fantastiques et des lieux imaginaires.





Je tiens à remercier vivement les éditions Playbac et particulièrement mon éditrice Marie-Sophie Ferquel de m'avoir confié ce projet plus qu'enthousiasmant. Des licornes, des tigres, laisser libre cours à mon imagination, quoi de plus exaltant pour l'amatrice de littérature fantasy que je suis ?
Merci également à Marianne Alexandre d'avoir accepté d'illustrer mes textes. Son travail  est une pure merveille !

Dans cette première aventure, Siria, Myrte, Aqua et Orion, quatre licornes aux pouvoirs magiques traversent la Forêt Chantante. Dans ce lieu plein de légendes, une menace sommeille. Aidées par l'espiègle lynx Pistil, elles devront y faire face et protéger les habitants de la Forêt.

Je vous laisse découvrir un aperçu des personnages principaux...



C'est trop beau, non ?

Et dans le prochain tome, les tigres des neiges seront à l'honneur !


Vous trouverez Les licornes et la menace du griffon partout partout partout : chez votre libraire, en maison de la presse, dans votre grande surface. 
Alors entrez dans Les Mondes d'Animalia !

lundi 5 juin 2017

Caballero, lauréat du prix des lycéens de Cherbourg Octeville

Cherbourg, Cherbourg... 
Quel bonheur de retrouver l'air salé et iodé de ma Normandie, sous un soleil radieux.
Cherbourg, où les régates partent après le coup de corne,


où le lever de soleil sur la Saline vous subjugue,


où l'on peut jouer du tambour et faire sauter des pétards dans sa chambre, mais uniquement entre 7h00 et 22h00.
En revanche, le tuba et le biniou sont autorisés à toute heure. Qu'est-ce que j'ai regretté de ne pas avoir emporté les miens...


où des gourmandises vous attendent dans cette même chambre (manger des biscuits, ça ne fait pas de bruit) !


où les jeunes femmes de la maison parentale vous ont préparé d'autres gourmandises : les fameux Tonka dont la recette figure en dernière page de Caballero,


où vous dédicacez face au port,


où les bénévoles ont tous le sourire, tout le temps, malgré l'organisation énorme qu'ils assurent. 
Vous le ressentez, l'accueil chaleureux ?


A Cherbourg, on a aussi des surprises extraordinaires : apprendre en arrivant que Caballero a remporté le prix des lycéens.
Durant les rencontres longuement préparées, j'ai pu sentir la révolte des élèves face à l'injustice de la maltraitance animale et leur compréhension qu'il faut s'entraider pour avancer et grandir.
Des petites graines semées pour faire bouger les choses !


Un discours, un discours ! Vous noterez qu'il n'a aucun intérêt puisque l'adorable Emmanuelle, la formidable grande chef du festival (une vraie maman qui prévoit des sacs de pulls pour les auteurs qui ont froid) papote avec le maire et que Paul Rouillac est prêt à se jeter dans le port pour que j'arrête de parler. Seuls Sigrid Baffert et Rémi Courgeon tiennent le choc, probablement parce qu'ils savent que l'apéro est en train d'être servi et que, par conséquent, je vais lâcher le micro au premier bouchon qui saute.

Merci à Malo, un élève de 4ème que j'avais rencontré plus tôt dans la journée d'avoir prix la photo !


Bon, c'est pas le tout, il faut faire descendre les piles de livres. Je peux vous assurer qu'elles sont parties vitesse grand V.


Il y avait des lecteurs en grand nombre et très intéressés.
Au premier plan, Gwenaëlle Doumont, illustratrice de la série "J'aime pas..." chez Talents Hauts

Les dédicaces, il y a les classiques, avec des fées sur les fées.
Et évidemment des paillettes !



 Et des dauphins sur les fées, parce que ma dédicace précédente était un dauphin sur l'île aux aventures et que la petite pleurait pour avoir aussi un dauphin ! On va se gêner tiens, choupinette, c'est parti pour un dauphin !


Il y a aussi la dédicace pour Clémentine Beauvais, auteur des Petites Reines. 
Ouais, je me la pète, j'ai dédicacé pour une star, nanananère.


Ajoutez à tout ce bonheur un auteur musicien qui sort sa guitare, tard le soir...


Cherbourg, ne cherchez pas, c'est un salon parfait !

Un immense merci à Christine, Emmanuelle, Mickaël, François, Gaëla, Jacqueline et tous les autres pour leur constante gentillesse, leur travail énorme en amont, leur passion. 

Et une bise à Adèle avec laquelle j'ai eu un grand plaisir à échanger, si elle passe par là !