mardi 28 mars 2017

Wissembourg 2017

Depuis 2015, le salon du livre jeunesse de Wissembourg n'a lieu que tous les deux ans.
Raison de plus pour se réjouir de recevoir une invitation pour cette manifestation hautement sympathique, où les statues portent des cache cols serpents et des bas en tricot (pour ne pas avoir froid à leurs papattes de statues, évidemment).


 Bon, les jeunes, y a du taff, faut s'installer !



Thierry Desailly, Elsa Devernois et Sandra Poirot-Cherif sont prêts !
Enfin, quand Elsa aura terminé son imitation parfaite de Dalida...


Anne Mahler et Christian Peultier profitent des derniers moments de calme, le dos chauffé par le soleil.



Et les portes s'ouvrent, plus le temps de faire des photos, à part quelques dédicaces, rapidement, quand on me demande une licorne verte, par exemple...



D'un coup, il est dimanche, 17h30.
Le salon est fermé depuis 30 minutes, mais il reste deux irréductibles dédicaceurs, qui ne veulent pas lâcher crayons et pinceaux.
Willy le libraire et Nathalie la médiathécaire nous menacent d'être rangés avec les chaises dans le hangar, pour les deux années à venir. Mais Patrice Seiler dégaine son arme magique, le trèfle à quatre feuilles qui éloigne les dérangeurs de gribouiller en rond ! 
HA HA, on vous a bien eus, on ne partira pas tant qu'il reste UN livre sur les tables, même ceux des copains, on s'en fout, on est des guedins, on dédicace tout tout tout !


Bon, ils ont gagné, ils nous ont attrapés avec le remède magique des auteurs en fin de salon, celui qui guérit les tendinites et les lèvres sèches : un crémant pour mon panda et un Vaqueyras pour monsieur Nostoc
On a bien été obligés de les suivre et de laisser la médiathèque reprendre sa vie tranquille.



Cette année encore un grand merci à tous ceux qui nous ont accueillis dans cette ambiance chaleureuse et familiale, à tous les lecteurs . 
Et à Lyse, une fidèle lectrice, qui a tenu à réaliser et m'offrir un portrait très ressemblant (on reconnaît bien les cheveux fous) !



Vérifiez bien les sièges, j'ai gravé mon nom sur l'une d'elles, je reviens dans deux ans, les amis, c'est obligé !

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